Nouvelles meunières n°61

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par Philippe Landry

Projet d’article sur les moulins-bateaux.

Nous préparons un article sur les moulins-bateaux à paraître dans un prochain bulletin. A ce propos, je voudrais citer certains de ceux publiés par les revues des fédérations d’amis des moulins à une date récente.

Couverture du numéro de janvier du Monde des Moulins, revue de la Fédération des Moulins de France, janvier 2024. Le moulin est conservé sur le Danube en Hongrie. Curieusement il a deux roues du même côté. Au premier plan la « foraine », c’est-à-dire la barque sur laquelle s’appuie l’axe des roues.

Couverture de Moulins de France, revue de la FDMF, octobre 2020. Moulin conservé en Allemagne. Il a deux roues, de part et d’autres, mais avec un axe suffisamment solide pour  se passer de foraine.

Actualité des énergies renouvelables

Au niveau mondial

Le monde entier penche de plus en plus vers les énergies renouvelables. Le Canard Enchaîné l’évoque dans son numéro du 24 janvier dans un grand article intitulé « Partout dans le monde, l’énergie nucléaire coûte un pognon de dingue ! ».  L’article détaille tous les pays où on prend conscience que l’investissement nécessaire pour construire de nouveaux réacteurs atomiques est trop cher. Et donc le prix du KWH produit, si on inclut le coût de l’investissement, est trop élevé : « Il faut dire que, depuis vingt ans, le prix du KWH (produit par le nucléaire) a légèrement augmenté, tandis que celui du solaire ou de l’éolien ont fondu, représentant souvent aujourd’hui la moitié du prix du premier.» En quantité, au niveau européen, « ce sont les énergies renouvelables (hydraulique, éolienne et solaire) qui, au sein de l’UE, ont généré le plus d’électricité, devant le nucléaire, suivi par le gaz et le charbon.». Le surcoût du nucléaire, aggravé par les difficultés de réaliser les usines de nouvelle génération comme Flammanville (12 ans de retard), dont on prend conscience quand on le veut bien, est souligné par le fait que l’ entreprise Westinghouse, « géant de l’assemblage de centrales », a fait faillite en 2017. 

Le Journal du Centre du  25 janvier livre un court article, toutefois avec une photo de panneaux solaires  « Ecologie. Les énergies renouvelables devraient détrôner en 2025 le charbon comme premier source de production d’électricité mondiale, estime l’Agence internationale de l’énergie (AIE). ». C’est surtout le photovoltaïque qui a le vent en poupe, lequel passerait de 30 % de l’électricité produite dans le monde en 2023 à 37 % en 2026.

Un court article du Journal du Centre le mercredi 3 janvier expose ceci : « La production d’énergies renouvelables au Portugal a atteint en 2023 un nouveau record historique, et fourni 61 % de l’énergie consommée l’an dernier, devant l’hydroélectricité (23%), l’énergie photovoltaïque (7%) et la biomasse (6%). » 

Au niveau national

Grand article dans Libération du numéro des samedi 20 et dimanche 21 janvier 2024 : « La politique énergétique de l’État, un bateau ivre ? », question soulevée en partie suite au remaniement du gouvernement.

Quelques phrases : « Difficile, d’abord, de savoir où est passée l’administration de l’énergie ». Elle semble passer sous la coupe du ministre chargé des finances et de l’économie, ce qui la condamne à être réduit à un souci de rang cadet, pour ne pas dire minime. En tout cas le ministre de la « transition écologique » ne veut plus s’en occuper, ce qui me paraît absurde. « Aucun expert ne semble pouvoir identifier avec certitude le cap de la politique énergétique de l’État» Beaucoup d’élus « se disent en faveur des renouvelables, mais peu se lèvent pour défendre l’éolien terrestre. Côté solaire… le décret censé donner le top départ de l’agrivoltaïsme, attendu depuis presque un an, n’en finit pas d’être discuté ». Etc.

Application de la loi pour « l’accélération de la production d’énergies renouvelables » du 10 mars 2023.

La lecture dans Le Journal du Centre du programme des futures séances des conseils municipaux, de leurs comptes rendus, de celui de vœux du maire dans les communes où ça se pratique, est édifiante : la majorité n’évoque même pas la « loi pour l’accélération de la production d’énergies renouvelables ». Voici les communes qui ont consenti à se déranger un peu à ce sujet :

St-Pierre le Moûtier : « Les énergies au menu du conseil » (JdC 2 janvier). « Un projet photovoltaïque sur un site dégradé » proche de l’ancien tunnel qu’empruntait la voie ferrée) « fait d’ores et déjà partie des zones d’accélération », ainsi que certains parkings, la gare SNCF justement dont j’ajoute que de vastes espaces ne sont plus utilisés, les toits des HLM, etc. « Concernant l’agrivoltaïsme, ce sera oui à conditions que les bonnes terres agricoles ne soient pas incluses ». L’éolien n’est pas rejeté a priori. Une nouvelle chaufferie pourrait fonctionner à la biomasse.

Châteauneuf Val de Bargis : « oui aux nouvelles énergies, non aux éoliennes » (JdC 2 janvier). Le conseil municipal est favorable au photovoltaïque sur les bâtiments et à la géothermie (!). Par contre il « refuse les installations d’éoliennes, de panneaux agriphotovoltaïques au sol et de méthanisation ».

Tronsanges : on bannit l’éolien, et on appelle les citoyens à proposer les friches agricoles comme sites susceptibles de recevoir des panneaux (JdC 7 janvier).

Annay : « Du photovoltaïque plutôt que de l’éolien » titre le JdC du 9 janvier pour un très court article.

Entrains sur Nohain : toutes les ressources sont étudiées, en écartant d’entrée l’éolien.

. « La topographie de la commune ne se prête pas à une production d’hydroélectricité » : étonnant vu le nombre de moulins à eau qu’a connus la commune.

. La méthanisation présente beaucoup d’inconvénients.

. « Le photovoltaïque au sol intéresse un privé »… celui sur les bâtiments « recueille les suffrages ». (JdC 16 janvier)

Urzy : « L’hydroélectricité peut être envisagée aux empellements du moulin du Greux (déjà existante mais pas en fonction et de la rue de l’Usine (étude réalisée par le SIEEEN) ». « Le photovoltaïque et le solaire thermique pourront être développés sur l’ensemble du territoire communal, tout comme la géothermie ». Le projet d’agriphotovoltaïsme à Luanges est vaguement évoqué, de même qu’un projet de méthanisation.(JdC 16 janvier)

St-Amand en Puisaye : « possibilités en termes de photovoltaïques sur bâtiment, au sol… méthanisation », et « l’éolien, exclu de la cartographie ». Pour le photovoltaïque, on pense au « bâtiment de la recyclerie » et aux « parkings de plus de 1500 m² » (JdC 20 janvier)

Rouy : Le maire « s’étend longuement sur la méthanisation compte tenu de la présence d’une plateforme de compostage dans la commune. » Pour le reste on est pour toutefois sans sujet précis, « le territoire ne se prêtant pas à l’hydroélectricité » ; pourtant il y a eu des moulins à eau. (JC 22 janvier)

Montaron et Luzy : la population va être consultée sur les projets d’installation d’énergie renouvelable. (JdC 22 janvier)

Dampierre sous Bouhy : « Pas de plébiscite pour l’éolien » titre le Journal du Centre. La commune compte suffisamment de ces machines comme ça, semble-t-il. Les élus sont « opposés à la méthanisation » mais « expriment un avis favorable au développement de photovoltaïque sur bâtiment ou au sol ». (JdC 29 janvier).

Eolien

Le JdC du 11 janvier consacre presque toute une page à « l’impact du bruit des éoliennes sur la santé  » sous le grand titre : « Leur son peut-il rendre malade ? ». L’effet néfaste « d’infrasons », « n’est pour l’heure pas validé scientifiquement ». Quelques témoignages de gêne sont cependant cités, par exemple celui d’un habitant du Maine-et-Loire qui ressent une « pression sur le tympan », en précisant : « C’est comme si on plongeait à 4 mètres ». L’effet négatif des éoliennes est souvent subjectif ; il est plus important chez quelqu’un qui se plaint déjà de voir des éoliennes de sa fenêtre. Retenons qu’en 2021 la cour d’appel de Toulouse « a reconnu qu’un couple de propriétaires d’un gîte rural d’Occitanie était victime du « syndrome des éoliennes » en prenant en compte des mesures de basses fréquences et d’intrasons ». Un encadré en bas de la page annonce que sont en cours des études sur les perturbations du sommeil.

Les projets qui suscitent de vives oppositions :

. Tamnay en Bazois : il est soudain question que soient édifiées 4 éoliennes de 220 mètres (je suppose en bout de pales), ce qui suscite un grande émotion hostile : « Ces « monstres » seraient installés sur un site naturel riche de prés bocagers, de sources, de sentiers balisés cheminant vers le canal du Nivernais, le Morvan et situés à l’orée du bois de Dély. Des habitants ont décidé de créer une association, Les Vallons du Bazois ». (JdC 13 janvier)

. St-Quentin sur Nohain : « Le conseil d’État a accepté d’étudier les requêtes adressées par les Robins des Mâts », l’association opposée à un projet qui affecterait cette commune et St-Laurent l’Abbaye, mais aussi du promoteur insatisfait d’une partie de l’autorisation qui lui a été accordée par le préfet. (JdC 23 janvier)

. Maux : le projet d’implantation de 6 éoliennes suscite toujours autant d’opposition. L’association « Maux en colère » estime minime le revenu que les machines apporteraient à la commune, et soutient qu’elles infligeraient des perturbations à certaines espèces d’oiseaux protégées qui nichent dans ce secteur : « cigogne noire, milan royal et oreillard gris (une chauve-souris) ».  (JdC 25 janvier)

Photovoltaïque :

L’agrivoltaïsme suscite toujours autant de controverses. « La Confédération paysanne et le collectif d’associations Energies nivernaises Réunies (EnR) organisent une journée de rassemblement et de débat » à ce sujet le 20 janvier (JdC 18 et 22 janvier). Ces entités sont hostiles à l’agrivoltaïsme. Un projet est mis en avant : celui de Chaluzy, commune de St-Eloi, autour de l’église romane dont un élément de décor sert d’emblème à la Camosine. En théorie la quinzaine d’hectares concernés resteraient affectée à une production végétale et accueilleraient des moutons sous les panneaux, mais les organisateurs sont sceptiques.

. Avril sur Loire, les remous continuent : le promoteur consent à modifier son projet mais pas assez selon ses opposants (JdC 25 janvier).

Sauvigny les Bois, au cours de la cérémonie des vœux, le maire a annoncé la création d’un parc photovoltaïque, « la préfecture ayant donné son accord pour le permis de construire ». Il s’agit d’un « gros dossier » dont rien d’autre n’est évoqué, comme si des remous étaient redoutés. ( Journal du Centre du 30 janvier)

Anthien : « Photosol stoppe le parc photovoltaïque » titre le Journal du Centre du 30 janvier. L’agriculteur qui comptait sur les panneaux pour améliorer ses revenus s’est heurté à l’hostilité des élus et des riverains des communes voisines.

Hydrogène

Le JdC du 10 janvier consacre à la question toute une page sous le titre : « L’hydrogène blanc, nouveau pétrole ? », sachant que là on n’aurait pas besoin de l’électrolyse : en effet, l’hydrogène se trouve parfois dans le sol à l’état de nature, ce qui est le cas en Moselle, avec un gisement très important. La France serait d’ailleurs riche d’autres gisements. Mais prudence : « Pour passer de la théorie à la pratique il faudra de l’argent, beaucoup d’argent, à la fois privé et public ». Toutefois le gouvernement se déclare très favorable à cette recherche.

Méthanisation :

« Bientôt la plus grande unité de méthanisation de France près de Dijon », titre le JdC du 27 janvier, précisant que 150 exploitants agricoles du nord-est de la Côte-d’Or, autour de Châtillon sur Seine, fourniront la matière première. « Les exploitants agricoles ont reconverti, l’an dernier, 4 200 ha de terre à le production de cultures intermédiaires à vocation énergétique, comme le seigle. L’unité de méthanisation s’inscrit dans un contrat de transition écologique… Composée de 5 cuves, elle occupera 15 ha. Sa production… devrait représenter 15 % de la consommation annuelle des zones résidentielles de Côte-d’Or pour les foyers raccordés au gaz. Près de 50 emplois devraient être créés à terme. »

Journaux

Le Journal du Centre

4 janvier : St-Pierre le Moûtier « Dernière pressée de l’année à l’Huilerie ». Les adhérents de l’association se sont réunis pour un repas, satisfaits de l’année écoulée.

24 janvier : à Luzy l’établissement dit « Notre Moulin » accueille des activités diverses que mènent des associations ou des artistes. 

25 janvier : A Empury, on a solidifié la digue de l’étang de Charrière qui porte une route départementale. Fort ancienne, elle servit à l’étang alimentant deux moulins, l’un situé à Empury, l’autre sur Lormes.

30 janvier : annonce de l’assemblée générale de l’association des Amis du moulin Blot, à Bouhy.

Revues

Le Monde des Moulins revue de la FDMF janvier 2024. Beaucoup de très bons articles sur des moulins de plusieurs régions de France. Articles importants remarqués :

« Le moulin sur bateau ou moulin à nef », par Colette Véron,  premier d’une série consacrée à ce type de moulin très particulier, avec de très belles illustrations. Colette Véron fait remonter l’histoire de ces moulins bateaux à 508 lorsque l’abbaye de St-Mesmin de Micy (lieu-dit aujourd’hui du Loiret) est autorisée à en faire flotter un sur la Loire, en Chine en 737, à Bagdad (donc sur le Tigre) en 850, sur le Rhin à Gimbscheim vers 750,  à Mayence ente 780 et 802 et à Strasbourg en 850, sur la Seine au XIe siècle, sur la Saône au XIIe, sur le Rhône au XIIIe, etc. 

– « Fondés en titre : les contributions du Conseil d’État », par Xavier Larrouy-Castéra, sur l’évolution de la jurisprudence en la matière.

– « Avant la création d’une passe à poissons, il est important d’inventorier les espèces piscicoles au niveau d’un moulin », par Stéphane Jarreton. 

– « Un rêve d’enfant devenu réalité » sur les efforts qu’a dû entreprendre le propriétaire d’un très ancien moulin pour y produire de l’électricité.

– Jean-Claude Gaillard évoque un « moulin à vermicelle » de Chelles, commune de Seine et Marne. A propos, Jean-Claude lance une souscription pour son livre « C’est quoi un moulin ». J’ai déjà son ouvrage sur le moulin de Monfermeil (il en dirige l’association) et celui sur les saints patrons des moulins.

Le dos de couverture propose une estampe de la roue d’un moulin par le célèbre peintre japonais des XVIIIe et XIXe siècles.

Moulins de France, revue de la FFAM, janvier 2024. Plusieurs articles fort intéressants : 

« Restauration de la nature : l’article 7 du projet de règlement européen : un dangereux précédent juridique pour la France et l’Europe », par Pierre Meyning, président de la FFAM. Il a raison d’insister sur le fait que l’Europe est tentée d’adopter la politique de continuité écologique de la France qui brille déjà par ses ravages. A ce propos Patrice Cadet signe un article sur les méfaits de la destruction des barrages quand elle provoque l’assèchement du lit de certaines rivières. Un autre article commente la diffusion d’un documentaire de 52 minutes sur la gestion de l’eau sur FR3 Pays de Loire le 25 octobre 2023 ; il évoque tous les problèmes à soulever, en particulier cet assèchement des rivières, avec l’avis de plusieurs scientifiques. Plus loin est évoquée la situation de péril où mène la politique de continuité écologique, par exemple au Pays basque. Dans le Nord, heureusement, un ancien moulin produit désormais 90 % de l’électricité consommé dans une petite commune.

« Mot d’adieu » d’André Coutard, un petit jeune d’à peine 80 ans et quelques, qui aura porté la revue. Il passe le flambeau à Patrick Birée, archéologue, lequel propose « Moulin et archéologie, une histoire réinventée ».

« Les moulins à manège de France à l’honneur » par Jean-Pierre Azéma.

« Réhabiliter les moulins à vent » par Grégoire Judic, sur le travail « d’amoulageurs » (nom des charpentiers spécialisés dans la construction et la réparation de charpente de moulin).

« Pays-Bas : la peinture comme au temps de Vermeer grâce à un moulin séculaire » : Patrick Birée reprend un article paru dans Le Figaro sur un vieux monsieur qui continue de pulvériser des pigments de couleur comme au XVIIe siècle, à la grande époque des Rembrandt et des Vermeer. Le moulin s’appelle de Kat : « du Chat ».

Livres :

– Didier Chabrol : « Terres et seigneurs en Donziais », autoédition de 2021. Gros livre de 334 pages sur la baronnie de Donzy avant 1789. Ce fut une grande unité féodale, s’étendant fort loin, y compris sur une partie de la Puisaye jusque dans l’Auxerrois dont Treigny aujourd’hui dans l’Yonne, St-Vérain, Cosne, Suilly la Tour et St-Martin sur Nohain, les environs de La Charité et ceux de Vézelay et Clamecy, etc. Il y a un chapitre « Du fer, des forêts et des moulins » surtout consacré aux nombreuses forges qui firent la richesse de la baronnie.  En fait les moulins sont peut évoqués : par exemple en amont de Donzy « on trouvait à Cessy les Bois les petites forges de Savigny, signalées en 1754, qui furent ensuite un moulin à farine ». Beaucoup d’illustrations belles et rares.

– Robert Desnos : « Voyage en Bourgogne », éditions du Poisson d’Or, dont c’est le premier ouvrage, janvier 2024. L’auteur particulièrement joyeux drille fait, en 1930 avec le peintre Foujita et deux autres amis, un itinéraire assez curieux commençant à Tonnerre et se poursuivant par Noyers sur Serein pour finir à Beaune. Passant à Avallon et Pontaubert, il écrit quelques mots sur les moulins.

Télévision

Arte 21 janvier 2024 documentaire sur le peintre néerlandais Piet Mondrian. Il commençait à être célèbre aux Pays-Bas et vendait bien ses tableaux, lorsque, en 1908, suite à une rencontre à Paris avec Picasso, Braque et autres avant-gardistes de l’époque, il changea sa façon de peindre, ce qu’il afficha en présentant « Moulin dans la clarté du soleil », une œuvre particulièrement audacieuse. Elle déplut, et plus tard il devait passer l’essentiel de sa vie et de sa carrière en France.

Livret 

« Maison Elsa Triolet Aragon » en fait l’ancien moulin de Villeneuve à St-Arnoult en Yvelines. L’association nous adresse le fascicule de ses activités « saison 2024 ». Très intéressant. Accessible sur internet www. Maison-triolet-aragon.com.

Questions diverses : 

A ce propos, nous avons un bon contact pour faciliter les recherches aux AD de l’Yonne. Les adhérents de Moulins du Morvan et de la Nièvre qui veulent y faire des recherches peuvent m’en parler au 03 86 59 49 98 : je faciliterai la mise en relation.